Notre régime d’assurances collectives, un cercle vicieux!

Depuis la nuit des temps, notre régime d’assurances collectives, notamment notre couverture et les primes, a été remis en question à maintes reprises.  Vous vous en douterez, ça ne prend pas une maîtrise en mathématiques pour comprendre assez rapidement que l’on paie assez cher pour ce qu’offre notre régime d’assurances collectives.  Et à cet effet, le conseil syndical en son ensemble en est très conscient et est très sensible sur cette question.

Mais pourquoi nos primes nous coûtent-elles aussi cher?

  • Comme toute bonne assurance, que ce soit auto ou habitation, les primes sont calculées en fonction de notre historique de réclamation;
  • Peu importe qui sera notre assureur, notre historique de réclamation nous suit partout;
  • Or, au cours des dernières années, nous avons vu une augmentation à tous les niveaux, notamment au niveau des médicaments ainsi que les absences maladies longue durée. Et malheureusement, on parle d’augmentations substantielles;
  • De plus, le nombre de cotisants à notre régime ne cesse de diminuer et ce, sans compter le fait que tous n’y participent pas, ceux-ci ayant fait le choix d’utiliser l’assurance souvent plus généreuse et moins coûteuse de leur conjoint(e);
  • C’est donc un cercle vicieux! Nous avons peu de cotisants, rendant notre régime moins intéressant.  Et on perd d’autres cotisants, le rendant encore moins intéressant et plus coûteux.
  • Actuellement, on compte 359 cotisants, dont 169 en couverture individuelle, 155 familiale et 35 monoparentale.

Vos conseil de direction et syndical sont du même avis que les membres : nos primes sont élevées et notre couverture est peu généreuse.  Nous souhaitons néanmoins vous assurer que nous suivons de près la fluctuation des primes et vous informerons lorsqu’il y aura des développements.

Enfin, nous vous invitons à suivre tout le dossier des assurances collectives dans nos prochaines communications.  Ne manquez pas notre prochain article: « Les régimes d’assurances des autres syndicats, des programmes difficiles à fusionner avec le nôtre… »

Votre conseil de direction